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  • 15/01/2017 St Mard de Réno

    Il y a de la brume et il ne fait pas très chaud ! Nous sommes 12 à quitter le parking de La Loupe. Prudence car les routes sont glissantes par endroit. On a donc mis une petite demi-heure pour rejoindre St Mard de Réno. Deux nouveaux participants nous attendent sur le parking de la Mairie, Chantal et Reynal. Aujourd’hui, saluons la venue parmi nous de Catherine et Roger. Une petite voix m’a dit que le Père Noël avait amené deux kilos de lest à Roger alors ne perdons pas de temps et démarrons la rando sous la direction de Martine. Nous traversons St Mard de Réno et son église en empruntant la route de Mortagne. Les trottoirs pavés sont très glissants alors nous préférons marcher sur la route. Au calvaire nous empruntons un chemin qui nous mène à La Maslotière où nous découvrons deux cabanes dans les arbres. Il s’agit d’un Gite de France. Nous prenons ensuite la D306 en direction de Courgeon puis bifurquons vers La Poussinière puis La Bermerie. Nous passons à 100m de la Ferme de l’Etoile (Hotel Neveu) mais avec la brume, personne ne l’a remarqué. On aperçoit enfin les clochers de la Basilique de la Chapelle Montligeon qui sortent du brouillard. Nous passons d’abord par l’étang puis nous empruntons l’allée qui passe devant la basilique. Fini de rigoler, maintenant il faut monter au sommet de la colline par le petit chemin abrupt. Une pause est nécessaire en haut pour reformer le peloton et boire un petit coup. Nous passons ensuite près du centre équestre des Mairins Berdis et bifurquons à gauche pour rejoindre La Fontaine. Une chasse doit se dérouler très près car une meute de chiens se fait entendre dans les environs. Nous suivons le GR 22 une fois de plus! Au kilomètre 8,5 un petit ruisseau est en travers de notre chemin mais le franchir n’est pas difficile, personne ne se mouille les pieds. Les hommes étaient là pour faciliter la passage aux dames pendant que je prenais des photos au cas où il y aurait une chute. Nous rejoignons la grande allée qui va vers St Victor de Réno et nous rencontrons notre premier chasseur. Une chasse est en cours mais il n’y avait aucun panneau sur le chemin que nous avons emprunté. Le chasseur nous dit qu’ils ne peuvent pas mettre des panneaux partout et que le secteur le plus dangereux est passé. Il prévient par radio ses camarades de jeu de faire attention car des promeneurs vont passer sur le GR22. A la Haslerie, nous changeons d’allée  et arrivons au Carrefour des Grands Ordons. Une question se pose, Qu’est ce que les ordons ?  Dans l’art de fabriquer du fer ou Sidérotechnie, un Ordon est une machine à cingler et à forger le fer. La machine est composée de marteaux et d’enclumes. Dans le petit livre sur l’histoire des Forges que vous pouvez lire, il est noté que le creuset de la forge portait le nom de Renardière. Nous passerons dans peu de temps à La Minerie et à la Renardière qui sont proches de rivière La Villette et proches du carrefour. Ces lieux doivent certainement leurs noms à l'histoire des forges!  Reprenons notre route pour sortir de la forêt. Il commence à pleuvoir légèrement. Nous arrivons au charmant hameau de Beauvilliers et continuons le Gr22 jusqu’à ce que l’alarme du GPS de Martine nous réveille. Aujourd’hui ce n’est pas par là ! Alors demi-tour, mais ce n’est pas grave, nous n’avons fait que 100 m et avons pu profiter une nouvelle foi des très belles demeures du hameau. Nous traversons la Braiserie, la Massotière, La Minerie et la Renardière  et descendons vers le Moulin de Beillard. Nous empruntons la petite passerelle et arrivons vers la chute d’eau. Aujourd’hui nous n’irons pas voir le moulin, ce sera pour une autre rando car il y a beaucoup de chemins à explorer dans les environs. Il nous reste plus qu’à rejoindre St Mard de Réno pour retrouver nos voitures. Petite information pour Marie Claude, l’indice IBP était de 52.  La température s’étant élevée, la route du retour était en très bon état. A bientôt pour de nouvelles aventures !

  • 08/01/2017 Manou

    La pluie verglaçante est partie et les routes sont en bon état. Nous voilà parti pour Manou. Nous sommes douze au départ. Il y a encore un peu de glace par endroit alors nous faisons très attention. Françoise est déjà tombée deux fois entre Montireau et St Victor de Buthon. Le jour à du mal à se lever, nous prenons la direction des Froux sur une route très verglacée. Dès l’entrée sur le sentier, tout va mieux grâce aux feuilles mortes. Les passerelles sur la tourbière sont très glissantes malgré les grillages sur les planches. Nous remontons ensuite la vallée Biquet par le chemin du haut. Ensuite nous longeons le ruisseau qui nous amène au rond de Condé. Ce ruisseau continue jusqu’à l’étang Loiseau puis traverse Senonches pour rejoindre le Ruisseau de St Cyr. Nous passons ensuite au chêne fauteuil, qui est toujours en mauvais état, puis au rond des Ruelles. Les allées dans la forêt ne sont pas glissantes, la tempétature remonte un peu mais la brume est de plus en plus présente. Nous rejoignons le rond de Franqueville puis c’est la descente le long de la voie ferrée pour rejoindre le rond du Grand Veneur. Nous prenons ensuite la route de Senonches pour atteindre le chemin de la Ferrière. Nous traversons la Ferrière et arrivons à la piscine puis faisons le tour du plan d’eau jusqu’à la passerelle où nous arrivons sur la D25. Au stade, nous tournons à droite pour prendre la direction de Pertuis. A la sortie de Pertuis, nous croisons une voiture qui s’arrête, il s’agit de Chantal et Reynal. Nous longeons ensuite l’aérodrome de Manouyau puis nous nous dirigeons vers les Maisons Rouges. Nous regagnons ensuite Manou par la D140. Maintenany nous allons nous préparer pour aller déguster la galette des Rois. Nous avons effectué les 17,8 Kms à 5,66 Kms/h de moyenne.

  • Réalisation de livrets

    Suite à la discussion que nous avons eu au cours de la randonnée d'hier, un livret, dans le style de celui des clochers , est à l'étude et sera consacré à la vallée de la Cloche et à ses moulins. Afin qu'il soit le plus complet possible, si vous avez des documents ou informations sur cette rivière et sur l'histoire de chaque moulin, n'hésitez pas à me les faire parvenir. Il y a également en projet la vallée de la Commeauche, lieu de quelques unes de nos prochaines randonnées. N'hésitez pas à donner des idées pour la réalisation de ces livrets, tout le monde peut participer à la réalisation des livrets.

  • 04/01/2017 Frétigny

    Nous sommes six au départ de la place de l’église de Frétigny. Il ne fait pas très chaud mais la température remonte car tout au long de la randonnée nous verrons le givre tomber des arbres. Nous quittons Frétigny pour rejoindre Cholet où nous empruntons le sentier qui longe la Cloche. Nous passons à côté du moulin de Villebon puis rejoignons moulin Canet. Nous continuons la D351.1 puis arrivons à Perrière où se trouve un ancien vannage sur la Cloche. Nous quittons le bord de la Cloche pour monter vers Gaumicourt puis Beslou. L’alarme du GPS nous réveille car nous ne sommes pas sur le bon chemin. Rien de grave, nous empruntons le petit chemin communal qui est plus sécurisant que la route qui parait bien givrée. Etape suivante, le Vieux Landon. Nous faisons un petit détour pour aller voir la gare de Montlandon Frétigny. Il n’y a personne, dommage car les propriétaires ont conservé quelques ustensiles et meuble d’époque. Nous reprenons notre chemin en direction de Montlandon en empruntant le sentier dans le bois. Une belle grimpette nous attend pour rejoindre la D103. Nous voici maintenant au lieu dit La Butte et Les Bouleaux. Nous traversons le bois ou nous voyons quelques traces de sanglier et apercevons un chevreuil. A l’Enfer nous empruntons la D351.5  en direction de St Denis d’Authou. Nous passons près du moulin des Bouillons mais c’est une propriété privée qui est invisible de la route. Ensuite nous descendons par le sentier pour arriver au moulin Rouge où nous rejoignons La Cloche. Nous continuons vers le moulin Guyot et passons près de l’ancienne ligne SNCF. Le retour vers Frétigny se fait ensuite par la route. La nuit commence à tomber mais notre accompagnatrice à son gilet jaune et il y a peu de circulation. Nous terminons ce parcours de 21 Kms à la moyenne de 6,1 Km/h. A refaire par un beau soleil.

  • 18/12/2016 St Jean Pierre Fixte

    Dans ton dernier message, tu nous proposes de raconter les randonnées. Et bien voilà un compte rendu succinct de celle de ce matin.

    Nous sommes 7 participants : Reynal, Chantal, Françoise, Elisabeth, Claudine, Marie Claude et moi, au départ de SAINT-JEAN-PIERRE-FIXTE, place de la Mairie. A l’arrivée, le jour n’est pas encore levé et nous profitons des illuminations de Noël.

    Un peu de brouillard bien qu’il nous laisse une visibilité acceptable. Nous avons réalisé notre parcours de 17.300 kms à la vitesse de 5.5 kms/H. Belle randonnée, en partie celle nommée « la vallée de la Berthe ». Juste un chemin un peu humide vers CHAMPROND-en-PERCHET.

    Dans un premier temps, nous avons longé  puis traverser la Rhône : petite rivière qui prend sa source à AUTHON-du-PERCHE et se jette dans l’HUISNE. Ensuite, une petite grimpette pour rejoindre le château Saint JEAN à NOGENT-le-ROTROU. Son emplacement dominant la ville et le plateau nous impressionne toujours. Ensuite, nous empruntons la rue Saint JEAN et remarquons au passage les belles demeures. Puis descente vers le Prado, et là c’est la Berthe que nous traversons. A notre gauche, un terrain de camping. Chantal demande s’il faut réserver longtemps à l’avance. C’est juste une question car aucun de nous n’a l’intention d’y séjourner. Nous continuons notre ballade sur des chemins que nous connaissons pour rejoindre CHAMPROND-en-PERCHET puis TRIZAY, nouveau passage sur la Berthe. Un tour de village s’impose pour admirer les belles maisons rénovées dont le style typiquement Percheron a été conservé. Puis, nous rejoignons notre point de départ par la place de l’église sur laquelle a été construite une fontaine dont l’eau parait-il aurait des vertus miraculeuse.

    Sur notre chemin, nous avons croisé à deux reprises le groupe mené par Marc. Roger nous a accompagnés sur les 2 derniers kilomètres, tandis que  Claudine et Marie Claude ont rejoint le groupe de Marc.

    Ma prochaine randonnée aura lieu à FONTAINE AUBERT, le mercredi 28 décembre et je me ferais un grand plaisir de vous accompagner.

    Je vous souhaite de belles fêtes de fin d’année et une bonne année 2017. J’ai quelques projets de randonnées en 2017, et tout particulièrement la vallée de la Cloche, la vallée de la Commeauche, et la forêt de Réno-Valdieu.

    Martine.

  • 14/12/2016 Bretoncelles

    Cinq participants cet après midi au départ du parking de la piscine de Bretoncelles. Le soleil est au rendez vous, c’est bientôt le printemps. Nous traversons Bretoncelles pour rejoindre la passerelle qui franchit la voie ferrée. Martine nous dit que c’est un ouvrage d’art en langage de cheminot. Attention ne pas confondre avec une œuvre d’art. Elle est quand même pas mal cette passerelle ! Nous prenons ensuite la direction du calvaire qui surplombe Bretoncelles. Une petite halte s’impose au calvaire où repose le Capitaine Ernest POMMERELLE.Nous avons une très belle vue sur 360°. Nous rejoignons la D620 puis D621 pour atteindre Le Colombier. Un sentier nous emmène au Val Richard où nous suivons un ruisseau jusqu’à ce qu’il se jette dans la Donnette au Moulin de Thivaux. Juste avant le moulin, nous passons sous la voie ferrée en empruntant un nouvel ouvrage d’art (Un petit tunnel). Nous traversons le Donnette par une petite passerelle en béton. Nous traversons la route de La Loupe et arrivons à La Voie. Nous montons ensuite vers la Godefraise puis rejoignons Cumont. Dans le sentier qui descend vers  le Moulin Viel nous nous trouvons derrière un tracteur. C’est certainement un vieux diesel au vu de la fumée qu’il dégage. Nous profitons au maximum de cette pollution.  Le Moulin Viel est toujours à vendre, alors si vous cherchez un petit coin tranquille n’hésitez pas. Nous quittons la D103-8  en prenant le sentier qui nous monte vers la rue Ferrée. Le chemin suivant est privé mais les marcheurs sont les bienvenus (Une convention a été signée entre le propriétaire et le CDRP61). Nous arrivons maintenant à la Gilardière et empruntons la route plutôt que le chemin au milieu des champs pour aller admirer les maisons du hameau. Nous rejoignons la Régeollière et son calvaire construit par Sophie GIRARD à la fin du XIXème siècle (Voir le photo). Dans le sentier qui va à La Nouebernon nous croisons un autre tracteur, beaucoup plus moderne mais tout aussi polluant. Dans la traversée de Nouebernon un énorme chien a reconnu Martine et vient faire le sixième randonneur. Sa propriétaire à bien du mal à le rappeler. Nous arrivons ensuite à la petite maison de la Motellerie qui est en travaux. Nous reviendrons prochainement pour voir l’avancée des travaux. Nous gagnons ensuite La Pestière d’où l’on a une superbe vue sur La Madeleine Bouvet. Nous descendons vers l’étang pour aller emprunter la passerelle et emprunter le chemin rural de la Beaudorière. A la Beaudorière nous attaquons la côte en passant par le petit sentier qui n’est pas sur les cartes. La côte est rude mais c’est la dernière de la journée. Nous arrivons à la Louveterie et il nous faut descendre vers la Dougère. Le sentier qui rejoint Bretoncelle est maintenant empierré et il n’est plus nécessaire de faire un détour par le champ. En cours de route un cheval nous rappelle à l’ordre car on ne lui a pas dit bonjour. L’arrivée est proche, nous longeons la maison de retraite et empruntons la belle allée qui rejoint le complexe sportif. Fin de la ballade. La moyenne du jour, 5,8 Kms/h pour les 21,6 Kms. Je m’absente jusqu’au début de l’année 2017 alors si vous vous voulez raconter vos prochaines randonnées, je les mettrai en ligne, je reste connecté ! Bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous.

  • Chemin rural ou d'exploitation!!!

    Différence entre un chemin d'exploitation et un chemin rural

    13e législature

    Question écrite n° 15826 de M. Jean Louis Masson (Moselle - NI)

    publiée dans le JO Sénat du 04/11/2010 - page 2870

    M. Jean Louis Masson demande à M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales de lui indiquer la différence entre un chemin d'exploitation et un chemin rural. Il souhaiterait notamment savoir s'il y a une différence de statut juridique, une différence dans la nature physique (revêtement…), une différence dans les obligations d'entretien de la commune ou dans ses pouvoirs de réglementation.

    Transmise au Ministère chargé des collectivités territoriales

    Réponse du Ministère chargé des collectivités territoriales

    publiée dans le JO Sénat du 13/01/2011 - page 71

    Si l'aspect des chemins ruraux et des chemins ou sentiers d'exploitation peut être similaire, ces deux catégories de voies n'ont pas le même statut juridique puisqu'ils n'ont pas le même type de propriétaire : les premiers appartiennent à une personne publique tandis que les seconds font partie du patrimoine de personnes privées. D'une part, les chemins ruraux sont régis par les dispositions des articles L. 161-1 à 13, et D. 161-1 à D. 161-29 du code rural et de la pêche maritime ainsi que L. 161-1 et 2 et R. 161-1 et 2 du code de la voirie routière. Ils font partie du domaine privé de la commune sur le territoire de laquelle ils sont situés. À ce titre, ils ne sont pas classés dans la catégorie des voies communales, qui est constituée par les voies du domaine public communal, et peuvent donc, contrairement à ces voies, être aliénés, notamment après enquête publique. Les chemins ruraux sont affectés à la circulation publique et sont soumis aux dispositions du code de la route. De plus, certains chemins ruraux sont inscrits au plan départemental des itinéraires de promenade et de randonnée. Il n'existe cependant pas d'obligation de les entretenir pour la commune : leur entretien ne rentre pas dans la liste des dépenses communales obligatoires qu'énumère l'article L. 2321-2 du code général des collectivités territoriales. Toutefois, en application de l'article L. 161-5 du code rural, le maire est chargé de la police et de la conservation des chemins ruraux. D'autre part, les chemins ou sentiers d'exploitation sont quant à eux soumis aux dispositions des articles L. 162-1 à 5 et R. 162-1 du code rural et de la pêche maritime ainsi que L. 162-1 à 3 du code de la voirie routière. Ce sont des voies privées rurales dont l'usage est commun à tous les riverains. Ils appartiennent à des particuliers et servent à la communication entre divers héritages ou à leur exploitation (Cass. Civ. 3e, 21 décembre 1988, Delon c/Consorts Boulet, et Cass. Ass. Plén., 14 mars 1986). Par conséquent, leur entretien incombe aux propriétaires intéressés, sauf renonciation à leur droit d'usage ou de propriété. Lorsque des chemins ou sentiers d'exploitation ne sont pas ouverts au public, les propriétaires doivent donc, par exemple, poser et entretenir eux-mêmes les panneaux de signalisation (Conseil d'État, 21 octobre 1983, Consorts Tomasini). Les chemins ou sentiers d'exploitation peuvent parfois être ouverts à la circulation publique, avec l'accord des propriétaires intéressés. Dans ce cas, le code de la route s'y applique, le maire y exerce les pouvoirs de police qu'il exerce sur l'ensemble des voies ouvertes à la circulation publique de sa commune et c'est à celle-ci que revient la responsabilité de poser les panneaux de signalisation.

  • Randonnée du Mercredi 14/12/2016

    En raison de la distance à parcourir, l'horaire de départ de la randonnée a été modifié!

    12h45 Covoiturage à La Loupe.

    13h00 Départ de la randonnée, parking de la piscine de Bretoncelles.