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  • 22/02/2017 Boissy Maugis

    Nous sommes trois au départ de La Loupe. Nous prenons la direction de Bretoncelles où nous retrouvons Martine et Françoise pour covoiturer. Direction Boissy Maugis. En cours de route nous visitons le rond point de Rémalard. Nous effectuons deux fois le tour car notre conductrice ne trouvait pas la bonne sortie. Nous quittons Boissy Maugis par la D 111 et passons devant le café des Amis à qui nous rendrons visite lors d’une de nos rando Resto. A l’ancienne gare, nous prenons la voie verte pour rejoindre le pont de fer et voir le Vieux Moulin et sa roue à aubes. Nous quittons la voie verte pour rejoindre St Maurice sur Huisne en longeant l’Huisne. A la Mieserie nous empruntons le sentier qui nous amène à la passerelle sur l’Huisne puis à Franvilliers. Au bout de l’allée bordée d’arbres nous arrivons à Maison Maugis, sa chapelle et son château. Nous prenons à gauche zt suivons le balisage blanc et rouge du GR 22. Nous attaquons la forêt de Réno Valledieu. Les chemins sont assez propres et nos chaussures ne vont pas trop souffrir. Une grande ligne droite de 2,5 Kms nous attand en pleine fôret. Le chemin est bordé de troncs d’arbres abattus. Au carrefour de la Gibonnière nous arrivons sur le D 213 et nous la suivons pour passer devant la bambouseraie de Lolo puis arrivons à Monceaux au Perche. Nous prenons la direction de Bizou et admirons le Manoir du Gué avant de quitter la route pour aborder un petit sentier qui grimpe, 60 m de dénivelé. Nous descendons maintenant vers l’autre extrémité de Monceaux au Perche. Nous faisons une petite halte pour permettre à Martine de découvrir le parking de la Mairie et à d’autre de profiter des toilettes. Nous faisons un petit détour pour aller voir le Manoir du Pontgirard. Une nouvelle côte de 70m de dénivelé nous attend mais cette fois ci sur la route, c’est la dernière difficulté de la journée. On se regroupe en haut car chacun est monté à son rythme. Nous prenons le chemin qui passe devant le pylône télécom puis entamons la descente. Nous nous arrêtons pour regarder un groupe de chevreuils en promenade dans un champ. Nous arrivons maintenant à la Repinçonnière où nous empruntons la D 111. Au clos St Marc nous changeons de programme et faisons un petit détour d’un kilomètre. Alain nous abandonne et rentre directement au parking. Nous prenons le chemin qui mène au Sablon. Sur le côté gauche du chemin nous apercevons l’entrée d’une grotte puis un peu plus loin une marnière. Nous prenons alors le D 612 en direction de l’arrivée mais nos détours ne sont pas finis. Un dernier détour par le Manoir de ma Moussetière et nous pouvons enfin rejoindre Alain qui nous attend sur le parking. Il s’est mis à l’abri sous l’abri bus. Ce fut une très belle randonnée. Nous avons fait finalement une petite rallonge de 3 Kms soit 22 Kms. Rendez vous dimanche pour la rando resto!

  • 19/02/2017 Bourges - Sancerre

    Très belle promenade cette nuit entre Bourges et Sancerre, 54 Kms. Le beau temps était au rendez vous! A 23h00, une heure avant le départ, il faisait 7° à Bourges. Départ à minuit pile pour environ 1200 randonneurs sur le grand parcours. Le départ est rapide pour ne pas être englué dans la masse. Les premiers kilomètres (La vieille ville et la banlieue) sont effectués à 7,5 Km/h. Le serpent s’allonge et chacun prend son rythme, toutes ces frontales, c’est superbe. Le scoureurs sont déjà loin. Je vais rester jusqu’au premier ravitaillement avec trois jeunes femmes qui font de la marche nordique et la moyenne se stabilise à 7,2 Kms/h. Elles restent trop longtemps au ravitaillement alors je retrouve d’autres compagnons de route. La température est encore agréable. La lune, dernier quartier,  se lève à 2h00 et nous permet de marcher facilement sans lumière sur les routes. Vers le kilomètre 25, nous avons une superbe vue des lumières de Bourges dans le lointain. Vers 5h du matin le gel fait son apparition ce qui permet aux chemins gras de durcir. Il y a quand même quelques secteurs boueux surtout dans les coteaux. Le jour commence à pointer, nous rangeons les frontales et la température remonte un peu. Le soleil se lève au moment ou nous attaquons la première véritable côte. La montée du coteau de Reigny au kilomètre 46. Elle fait très mal aux jambes à ce moment du parcours, on monte tout droit dans le coteau. Toutes les difficultés sont dans les 10 derniers kilomètres. Après le dernier ravitaillement à Bué, nous attaquons le coteau de Venoize, l’arrivée n’est plus très loin, nous apercevons l’arrivée. Il reste à descendre du coteau et à remonter sur la colline de Sancerre jusqu’à la grotte où nous attend notre petit verre de Sancerre, blanc ou rouge au choix ! Il est 08h15 le Sancerre est apprécié, il reste à rejoindre Bourges par le premier bus. Les derniers sont attendus vers midi ou plus!!! L’organisation était excellente. On voit très bien sur la courbe, les cinq ravitaillements et la chute de vitesse dans le coteau!

    Courbes

  • 15/02/2017 Chuisnes

    Aujourd’hui, j’ai profité d’un jour de relâche sur le grand parcours pour aller me promener à Chuisnes. Lundi après-midi j’avais déjà rendu visite à la Mairie pour étudier et prendre quelques photos du nouveau cadastre suite au remembrement. Beaucoup de nos chemins ont disparu et de nouveaux ont fait leur apparition. J’ai donc parcouru les nouveaux chemins et fait un relevé GPS. Tous nos parcours sont impactés par le remembrement donc je les ai supprimés et vais créer quelques nouveaux grands parcours. Le beau temps étant annoncé pour ce week end, je serai donc dimanche à la randonnée Bourges – Sancerre.

  • 12/02/2017 La Loupe

    L’alerte Orange de Météo France nous ayant dissuadé d’aller à L’Hermitière, nous sommes restés à La Loupe pour randonner. Dommage car Météo France a encore fait de mauvaises prévisions. Nous étions cinq au départ de La Loupe. Le circuit habituel fait 21,4 Kms (J'avais annoncé 20,4 mais c'était une faute de frappe) et n’a rien d’exceptionnel au point de vue touristique ! Les champs sont toujours aussi beaux. Il y aura donc très peu de photos. Nous sommes partis par le chemin Vert pour rejoindre le Vaufermé puis la Haisonnière. Méfiance à la Haisonnière car Mr Sécurité peut être aux aguets ! Nous prenons la direction de La Petite Butte et voyons arriver en sens inverse, Françoise T, Martine et Daniel qui sont partis à pied de leurs domiciles par peur du verglas. Nous repartons tous ensemble pour rejoindre Froid Vent où effectivement le vent est très frais ce matin. Nous prenons ensuite la route pour passer entre l’étang de Perruchet et l’étang de Thèllière et nous retrouver à Touraille. Les chasseurs sont au coin du bois mais nous laissent passer. Le GR 35 est toujours très boueux en descendant vers la D 941. Nous le suivons jusqu’au transformateur de La Cocherie puis traversons la Grande Sergenterie. Arrivés sur la D 349 nous nous séparons. Françoise, Martine et Daniel partent par St Eliph pour rentrer à St Victor et nous nous continuons à suivre le circuit prévu, la Glonnerie, l’Evarderie puis la route du Goulet. La traversée du bois de La Loupe est en très bon état et ne pose pas de problème. A l’arrivée nous avons pu déguster les excellents gâteaux d’Elisabeth qui arrosait son anniversaire. Je ne sais pas s’il y aura une randonnée mercredi vu le très faible effectif. Je vous tiendrai au courant.

  • 08/02/2017 Marolles les Buis

    Aujourd’hui quatre randonneurs au départ de la rando dont le thème était les moulins de La Cloche. Cette fois ci, ce sera une visite commentée avec talent par Martine. C’est la reprise pour Françoise D après quelques mois de repos ! Au cours de la randonnée nous aurons accès au Moulin de Radais et nous remercions le propriétaire qui nous a autorisé à y accéder. Nous quittons Marolles pour rejoindre La Pissotte où nous empruntons le chemin de La Côtière qui est en parfait état. La haie est complètement coupée et la vue est maintenant dégagée. Au carrefour des Forges nous prenons la route en direction de Frétigny. Arrivés à Rome, nous prenons le chemin qui monte et nous amène au Petit Bois. Nous arrivons ensuite à Pétonville et descendons vers la Cloche. Petite halte à Cholet pour l’histoire du premier moulin de la rando. Le moulin de Cholet n’existe plus et nous ne verrons que son emplacement. Nous prenons ensuite le chemin qui nous amène au moulin à papier qui lui est bien là. L’entrée est dégagée, alors je prends une photo de l’intérieur. Nous continuons par la route jusqu’au chemin qui descend au hameau de La Cloche. Nous faisons un petit détour hors du parcours pour essayer de voir le moulin de le Brètêche. Malheureusement depuis la route ce n’est pas évident de le voir. Nous reprenons notre chemin et le parcours prévu. Nous arrivons près du moulin de Cachebouton et faisons un nouveau détour pour aller le photographier. Comme c’est une propriété privée, nous ne le voyons pas sous le meilleur angle. La rando continue et nous sommes suivis par des cavaliers du centre équestre des Barres. Nous arrivons maintenant à Houdangeau et empruntons le chemin qui descend vers La Cloche pour emprunter la passerelle. Le chemin monte ensuite vers le château de la Vignardière. Une nouvelle fois nous quittons notre parcours pour aller au moulin Radais. Le propriétaire nous a autorisé à le visiter et à faire toutes les photos que l’on souhaite. Le moulin a été superbement restauré. La route qui nous ramène à La Vignardière est très pentue mais la visite du moulin en valait la peine. La côte n’est pas finie car il nous faut rejoindre le calvaire en haut de la D 351-2. Nous sommes sur la colline et c’est difficile pour observer les moulins, alors nous allons descendre par le petit sentier des Bréhaudières où nous attend comme d’habitude le chien de la maison. Nous voici donc au moulin Neuf qui lui est sur la Vinette. Nous passons le carrefour de la route de la Hurie et traversons le pont sur La Cloche. Au passage nous regardons la Vinette se jeter dans la Cloche. Nous attaquons le chemin du ravin de l’Enfer. Sur la droite de ce chemin arrive un sentier venant de Bouvereau. A 300m d’ici, sur ce chemin se situait le moulin de Boischaté. Aujourd’hui il ne reste que quelques ruines, mais nous distinguons nettement les canaux amenant l’eau. Attaquons maintenant la côte pour rejoindre la Belle Arrivée. Nous traversons le bois de Maurissure pour descendre une nouvelle fois vers la Cloche. Nous la traversons sur la passerelle faite par de poteaux électrique. Les dames ne sont pas rassurées ! Mais personne ne tombe à l’eau. Le moulin Grignon est juste après la passerelle mais il mériterait un petit nettoyage car la végétation extérieure envahi les lieux. Nous prenons ensuite la route en direction de la Poterie. En passant nous voyons le moulin Jubault qui lui aussi a été bien restauré. Arrivé à la Poterie nous décidons de modifier notre parcours pour aller voir le moulin de la Poterie qui est proche du lavoir. Nous rebroussons notre chemin et rentrons à Marolles par la route. Finalement avec tous nos détours, nous avons effectué 20 kms. Après la randonnée, avec Martine,  nous sommes passé par le château de la Vignardière où la propriétaire nous attendait pour nous remettre quelques documents sur les moulins. On vous l’a déjà dit, un livret sur la vallée de La Cloche et ses moulins est en préparation et vous saurez bientôt tout sur cette vallée. Prochain rendez vous, la rando nocturne de Trizay samedi soir avec soupe et Teurgoule à l’arrivée puis dimanche matin nous irons à l’Hermitière.

  • Sécurité en randonnée

    Sécurité en randonnée  

    A droite ? A gauche ?


    Les randonneurs sont parfois amenés, au cours de leurs périples à emprunter, le moins possible, des portions de routes. Et inévitablement la question se pose : faut-il marcher à droite ou à gauche ?

    Dés lors qu’on aborde l'asphalte, le seul texte ayant force de loi est tout naturellement le code de la route. Consultons l’Article R412-36 :

    "Lorsqu’ils empruntent la chaussée, les piétons doivent circuler près de l'un de ses bords. Hors agglomération et sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité ou sauf circonstances particulières, ils doivent se tenir près du bord gauche de la chaussée dans le sens de leur marche [...]."

    Mais si nous consultons l'article complémentaire qui suit, Article R412-42 :

    "I - Les prescriptions de la présente section relatives aux piétons ne sont pas applicables aux cortèges, convois ou processions qui doivent se tenir sur la droite de la chaussée dans le sens de leur marche, de manière à en laisser libre au moins toute la moitié gauche.

    II - Elles ne sont pas non plus applicables aux troupes militaires, aux forces de police en formation de marche et aux groupements organisés de piétons.

    Toutefois, lorsqu’ils marchent en colonne par un, Ils doivent, hors agglomération, se tenir sur le bord gauche de la chaussée dans le sens de leur marche, sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité ou sauf circonstances particulières.

    III - Les formations ou groupements visés au II ci-dessus sont astreints, sauf lorsqu’ils marchent en colonne par un, à ne pas comporter d'éléments de colonne supérieurs à 20 mètres. Ces éléments doivent être distants les uns des autres d'au moins 50 mètres."

    Alors, tentons de démêler l'écheveau pour les groupements organisés de piétons, c'est à dire les randonneurs que nous sommes!

    Notons d'abord qu'il s'agit d’obligations (ils doivent) et non de recommandations.

    • Le randonneur isolé doit se tenir à gauche dans le sens de sa marche.
    • A partir de deux randonneurs (on n’est plus isolé), on doit marcher à droite ... sauf si on évolue l'un derrière l'autre ... alors on revient à gauche.
    • En cas de groupe peu important : à droite si l'on est en groupe, à gauche si on marche les uns derrière les autres.
    • En plus, en cas de groupe très important : obligation d'organiser des groupes de moins de 20 mètres distants de 50 mètres chacun et de marcher à droite.


    A noter également, à la tombée de la nuit et la nuit :
    La nuit, ou le jour lorsque la visibilité est insuffisante, chaque colonne ou élément de colonne empruntant la chaussée doit être signalée :

    1. A l’avant par au moins un feu blanc ou jaune allumé,
    2. A l’arrière par au moins un feu rouge allumé, visibles à au moins 150 mètres par temps clair et placés du côté opposé au bord de la chaussée qu'il longe.

  • 05/02/2017 Avezé

    La météo n’est pas au beau fixe quand nous quittons La Loupe mais changement radical en arrivant à Avezé. Le soleil est de retour et il ne nous quittera pas de la matinée. Nous sommes six à quitter l’église d’Avezé pour rejoindre les collines d’en face. Après cinq minutes de marche, le téléphone sonne ! C’est Elisabeth qui vient d’arriver au parking. Elle nous rejoint au pas de course. C’est donc à sept que nous allons continuer. Nous empruntons le chemin parallèle à la voie ferrée puis attaquons notre premier chemin creux. Il y en aura beaucoup sur ce parcours, boueux aujourd’hui mais quand même très praticable. Les chaussures auront besoin d’un bon nettoyage. Nous traversons les hameaux du Creux, l’Aumône, la Garenne, l’Oliverie et Le Tertre et découvrons de très belles maisons bien restaurées. Juste après la Galaisière, c’est le premier col pour atteindre la Coëfferie. Nous prenons la route pour un aller-retour au château de la Prousterie. Ce château et ses dépendances valent le détour. Nous repartons en sens inverse pour nous diriger vers la Mussardière. Sur notre droite nous apercevons le village de l’Hermitière et son château. Nous quittons la route pour de nouveaux chemins creux très humides. Elisabeth s’aperçoit qu’elle a perdu sa casquette. Malgré une recherche rapide, elle est introuvable. Elle doit être loin d’ici. Nous montons maintenant vers le Bois Guyot pour rejoindre la route qui mène à la tuilerie des Saules. Nous entendons la corne de quelques chasseurs mais nous n’allons pas dans cette direction. Maintenant le terrain est plat pour traverser la forêt. Nous croisons beaucoup de joggeurs ce matin, tout le monde profite du beau temps. Peu avant l’Orgerie, nous tournons à droite pour descendre par un petit sentier abrupt vers Préval. Arrivés à l’entrée de Préval je demande si quelqu’un veut faire un petit détour d’environ deux kilomètre pour aller jusqu’à l’église. Six voix pour, une voix contre, donc nous n’irons pas car il n’y a pas l’unanimité. Nous continuons par la route et arrivons à la Fafelinière où nous découvrons une très belle longère.  Nous apercevons le château de la Matrassière, que nous irons peut être voir un de ces jours. Nous voici maintenant à Souvigné sur Même où se trouve un parking qui pourra éventuellement servir de départ à une prochaine randonnée. Il nous fait maintenant remonter sur la colline. Nous passons près du Petit Ecossé et arrivons au haras de la Milsandière. Nous longeons et contournons la grande piste d’entrainement et doublons deux chasseurs en ballade. Nous passons sous des petites barrières pour emprunter un tout petit sentier escarpé qui nous permet de rejoindre le centre équestre du verger à Cavereau. Au cours de la descente nous avons une très belle vue sur Avezé. Nous suivons ensuite la voie ferrée pour rejoindre La Coupenière où nous empruntons notre dernier chemin creux de la journée. Après avoir passé la Ponjardière, nous prenons enfin, diront certaines personnes, la direction d’Avezé. Nous longeons à nouveau la voie ferrée pour rejoindre la D 59. Nous traversons l’Huisne par un pont métalique et arrivons à notre parking. Sur ce parking il y a des toilettes et une fontaine d’eau potable, c’est le grand luxe. C’est certain, nous reviendrons à nouveau faire cette belle randonnée aux beaux jours. Rendez vous mercredi à Marolles les Buis.

    Si vous ne comprenez pas tout ce que vous dit Martine, voici les mots du langage rustique usité à S Victor de Buthon.

  • 01/02/2017 Mâle

    Départ de La Loupe à deux personnes, nous passons par St Victor de Buthon où l’effectif double. Nous faisons voiture commune et rejoignons Mâle où nous attendent Chantal et Reynal. Reynal nous raconte qu’en venant il a croisé une voiture de l’identification criminelle ! Il a raison, voici l’article de l’Echo. Nous attaquons donc la rando à six. La météo n’est pas terrible mais il ne pleut pas, c’est le principal. Aujourd’hui nous ferons le parcours en sens inverse. Nous prenons le chemin des côtiers puis la direction du Chaillouet, chemins déjà emprunté lors du Tour de Collines du Perche. Nous rejoignons ensuite le hameau de Charabaux et prenons la direction de Mâle. Nous avons une très belle vue sur Mâle et son église. Comme nous venons de démarrer, il nous faut bifurquer pour passer au Terrier où se trouve une très belle demeure. Il n’y a pas que la demeure qui est belle, la côte qui suit l’est également, ce n’est que la première du parcours. Nous traversons ensuite la D 923 et descendons vers les Margotières. Au passage nous voyons un sanglier qui est venu chercher son repas au près d’un petit enfant qui lui jette du pain. Nous ne nous arrêtons pas à la boite de nuit et passons près des étangs de Pont Girard. La route s’élève à nouveau et une pluie fine fait son apparition. Reynal nous guide, il a enfin révisé l’utilisation de son GPS ! Il maitrise ! Les sentiers commencent à devenir boueux. Enfin ! Après quelques tout droit, à gauche….nous voici à Bel Air. La pluie a cessé, tant mieux. Nous prenons la direction de la forêt pour atteindre le point culminant de la journée à 204 m d’altitude. C’est Françoise qui est contente car maintenant ça va descendre jusqu’à l’Hermitage, la banlieue de Ceton. Nous voici à 112 m d’altitude, belle descente. Maintenant il faut remonter par la route en direction de la Grande Rosaye. Nous apercevons une dizaine de chevreuils dans les champs voisins. Nous continuons à monter et passons à l’Anerie, une superbe demeure, il est conseillé d’avoir un 4x4 pour y accéder en voiture. Nous voici au sommet de la bosse et pouvons maintenant descendre vers le ruisseau de la Jambette. A ne pas confondre avec la Jambette qui passe à Nogent le Rotrou. Il y a un petit peu d’eau dans la Jambette et rien pour traverser à part quelques pierres. On a vu pire mais nous trouvons un passage sur le côté en direction de l’ancienne ferme. Reynal vient en aide à la gente féminine pendant que je prends quelques photos. Il nous faut rejoindre maintenant la D 923 par une très longue côte. Au sommet nous attendons Françoise avant de traverser. Maintenant c’est de la descente jusqu’à la Croix de Pierre puis nous attaquons la dernière difficulté. Un petit raidillon qui nous amène à nouveau sur la D 923. Françoise est carbonisée mais maintenant il n’a plus qu’à descendre. A l’approche de la Bellangerie, nous avons une superbe vue avec le soleil couchant qui vient éclairer la vallée de l’Huisne. Nous voici enfin à Mâle, fin de la ballade. A dimanche pour la découverte d’un nouveau parcours à Avezé.