Articles de patrickrando

  • 05/03/2017 Fontaine les Ribouts

    Nous étions sept courageux au départ de La Loupe pour nous rendre à Fontaine les Ribouts. Il y a quelques averses mais rien de bien gênant. Au départ de la randonnée nous retrouvons Françoise D et la famille Duclos de La Goupillière. Nous sommes donc neuf à nous élancer sous une légère pluie. Christian ne nous accompagne pas, il attend les participants du moyen parcours ! Nous commençons par le tour du centre ville pour voir les anciennes maisons et empruntons le chemin qui mène au bois des Fontaines. Nous suivons le GR 351 et avons le vent de face et pour traverser le plateau. La traversée du bois se fait à l’abri et nous prenons la direction du moulin de Torçay. Nous prenons ensuite le sentier qui nous amène au Grand Moulin. Le sentier est bordé de nombreuses plantes et fleurs ainsi que de buis. J’ai enfin la réponse à la question que j’avais posée l’année dernière. Je recherchais le nom d’une plante qui borde le sentier, il s’agit d’Ellébore sauvage, merci Elisabeth. Nous longeons la Blaise qui est bien haute, que d’eau. Nous prenons la D 134.3 pour remonter sur les coteaux. Un chemin dans les champs nous amène aux Bretonnières. Christian nous envoie un SMS car il n’a vu aucun randonneur le rejoindre pour le moyen parcours et rentre à la maison. Le temps se gâte et le vent souffle très fort. Nous sommes au milieu des champs pour rejoindre Crécy Couvé, il n’y a pas d’abri. Nous arrivons place des Marronniers et je pose rapidement les premières questions du guide de découverte et donne quelques explications mais l’auditoire n’est pas à l’écoute. Nous croisons un autre club de randonnée en ballade sous la pluie. Nous ne sommes pas les seuls fous ! Nous allons jusqu’au château d’eau proche de l’hôpital où nous avons faire demi tour pour reprendre notre circuit. Pendant que je fais quelques commentaires sur l’éolienne la plupart des participantes se mettent à l’abri sous l’abribus. Elles décident collectivement de raccourcir la randonnée car elles sont déjà bien trempées. Nous prenons donc le chemin de la Côte des Foins pour descendre vers la Blaise. Nous arrivons près de La Machine, le potager d’en bas et la Glacière (voir le livret). Les commentaires et questions sont abrégées et nous reprenons notre route en longeant la Blaise pour arriver à Bellasière. La Bellasssière servait de buanderie et d’orangerie à la Marquise de Pompadour. C’est un ancien bâtiment du XIème siècle que la Pompadour fit orner d’une façade en trompe l’œil en 1790. Après ce bâtiment devint un moulin. Nous continuons à longer la Blaise pour nous rendre à Saulnières. Nous pourrons bientôt nous promener sur le site de l’ancienne usine car il est entièrement réaménagé mais pas encore accessible. Nous jetons un coup d’œil à la surprenante Mairie et traversons la Blaise. Encore un effort, l’arrivée n’est pas loin. Un dernier sentier le long de l’étang à foulon et nous voici à l’entrée de Fontaine les Ribouts. Entre les gouttes, nous avons la chance de profiter de quelques rayons de soleil. Tout le monde arrive bien trempé au parking après avoir parcouru finalement 13,5 Kms au lieu de 17 à la moyenne de 5,9 Kms/h. Nous reviendrons faire ce joli parcours aux beaux jours !

  • Photos Bourges - Sancerre

    Vous pouvez consulter les photos de Bourges - Sancerre 2017 sur le site des Cyclotouristes Berruyers.

    Admirez les paysages!!!

    Et pourquoi pas m'accompagner l'année prochaine!

    Bon entrainement!

    Voir les photos

  • 01/03/2017 Margon

    Aujourd’hui la randonnée a lieu exceptionnellement le matin. Le temps est gris et un léger crachin tombe. Nous sommes sept au départ de la base de loisirs de La Borde. Le thème du jour est encore La Cloche. Nous quittons Margon par un itinéraire inhabituel, le lavoir, le Pré St Martin et La Perrière. A La Perrière nous empruntons le sentier qui longe le canal d’Arcisses. Nous nous arrêtons quelques instants pour découvrir ce canal que nous avons souvent longé sans le remarquer. Au bout du sentier nous montons vers La Maupinerie pour prendre la direction du Bout du Bois. Nous empruntons le sentier du haut pour traverser le bois des Perchets et rejoindre l’ancienne abbaye d’Arcisses. Après le moulin, au Thuret, nous prenons le petit sentier qui monte pour nous retrouver sur la D 351-7. Au carrefour suivant, nous quittons la route pour suivre le chemin rural N° 49 (qui ne figure pas sur les cartes) et traversons Le Bignon qui heureusement n’est pas en crue car il n’y a pas de passerelle. Nous voici une nouvelle fois au moulin de Crignon et traversons La Cloche par la passerelle faite de deux poteaux en béton qui s’inclinent de plus en plus. Aujourd’hui, ils sont assez glissants mais heureusement Reynal est là pour donner la main à Françoise D. Ensuite nous montons pour nous retrouver sur le chemin d’Ozée. Au bout du chemin, le bois ayant été éclairci nous pouvons apercevoir le moulin de La Cave. Nous continuons par la fameuse côte d’Ozée où nous sommes doublés par deux vététistes qui appuient fort sur les pédales. Après un passage au centre équestre de la Cour aux Cormiers et à la Cour aux Laquais, nous descendons vers la D 103. Nous entrons dans La Vallée, faubourg de Margon, et faisons un petit détour pour aller admirer le moulin de La Vallée. Alain nous abandonne et rentre directement au parking. Il a bien marché mais la vitesse était un peu élevée aujourd’hui. Nous traversons ensuite le parc de Margon, le long de La Cloche et empruntons la passerelle qui est extrêmement glissante avec la pluie, du véritable verglas. Face à l’église, nouveau détour pour rejoindre le moulin de Beaudolet, le dernier moulin sur La Cloche. Nous y retournerons car le passage fut trop rapide aux dires de …Nous rejoignons le parking mais la randonnée n’est pas finie. Il nous reste un dernier détour d’environ 2 kilomètres pour aller voir le confluent entre L’Huisne et La Cloche. La pluie commence à tomber beaucoup plus alors, après une photo de groupe au confluent, nous regagnons le parking. Finalement nous avons fait 22 kilomètres au lieu des 19 prévus mais on n’est pas à quelques kilomètres près. Cette randonnée m’a permis de faire les dernières photos à mettre dans le livret sur La Cloche. Il devrait être disponible sur le site dans peu de temps !

  • 26/02/2017 Fontaine Simon

    Douze personnes ce matin au départ de notre première rando resto du dimanche. Le temps est brumeux mais la pluie n’est pas prévue. Il est 08h10 quand nous quittons le parking de la piscine. Nous avons 20 kilomètres à effectuer dans la matinée, le but est d’être vers midi au restaurant à Manou. Nous prenons la direction de la forêt pour emprunter le GRP Vallée de l’Eure. Quelques chevreuils s’enfuient devant nous. C’est bientôt les vacances pour eux, la chasse se termine aujourd’hui. A proximité de Fontaine Aubert nous rejoignons le GR 35 que nous allons suivre jusqu’à Senonches. Nous enchainons les ronds, Fortin, Cerf et Fizilière et nous voici à Uthopia. De nouveaux hébergements ont fait leur apparition le long de la clôture. Nous quittons le GR 35 après avoir contourné le terrain de foot et passons derrière l’ancien dojo qui est à l’abandon et proche de la ruine. Nous empruntons ensuite le sentier de l’Orée du Bois puis nous passons derrière l’usine Eurofeu après avoir traversé l’ancienne voie ferrée. Nous prenons ensuite la route pour rejoindre le rond de Condé. De nombreux chasseurs sont là et se mettent en place dans le bois privé qui borde le chemin que nous allons emprunter. Nous longeons le lit du ruisseau qui est complètement à sec pour nous retrouver au rond des Dames. Nous descendons ensuite la vallée Biquet par le chemin du haut pour nous retrouver à la tourbière des Froux. Encore un petit effort et nous voilà au bar de la Grange notre restaurant du jour. Marie Claude D nous abandonne pour regagner Pontgouin. Notre table est prête et nous pouvons nous restaurer. Au menu : Assiette de salade, Œuf dur, asperges, avocat et tomate, ensuite un hachis Parmentier maison, Fromage et une crème au chocolat. Le tout pour 12,50€ accompagné de cidre et rosé à volonté. La patronne nous offre le café et le thé, merci ! Après une heure et quart d’arrêt, nous reprenons la route pour les dix derniers kilomètres. Il faut remettre en marche la machine ! Nous longeons le bois des Ordons (Ça me dit quelque chose les ordons !) puis direction les Ailes Blanches. Nous prenons ensuite le D 319-3 pour rejoindre la route de Neuilly. Nous descendons ensuite vers la passerelle pour traverser l’Eure. Nous traversons ensuite le hameau des Maisons Rouges puis longeons l’aérodrome de Manouyeau. La vitesse est plus rapide cet après midi, on sent l’écurie approcher. Nous passons au Pertuis avant de rejoindre Fontaine Simon. Il nous reste à longer le plan d’eau avant d’arriver au parking. Un grand merci à Martine l’organisatrice de cette journée. Rendez vous pour la prochaine rando resto le 08/03/2017.

  • 22/02/2017 Boissy Maugis

    Nous sommes trois au départ de La Loupe. Nous prenons la direction de Bretoncelles où nous retrouvons Martine et Françoise pour covoiturer. Direction Boissy Maugis. En cours de route nous visitons le rond point de Rémalard. Nous effectuons deux fois le tour car notre conductrice ne trouvait pas la bonne sortie. Nous quittons Boissy Maugis par la D 111 et passons devant le café des Amis à qui nous rendrons visite lors d’une de nos rando Resto. A l’ancienne gare, nous prenons la voie verte pour rejoindre le pont de fer et voir le Vieux Moulin et sa roue à aubes. Nous quittons la voie verte pour rejoindre St Maurice sur Huisne en longeant l’Huisne. A la Mieserie nous empruntons le sentier qui nous amène à la passerelle sur l’Huisne puis à Franvilliers. Au bout de l’allée bordée d’arbres nous arrivons à Maison Maugis, sa chapelle et son château. Nous prenons à gauche zt suivons le balisage blanc et rouge du GR 22. Nous attaquons la forêt de Réno Valledieu. Les chemins sont assez propres et nos chaussures ne vont pas trop souffrir. Une grande ligne droite de 2,5 Kms nous attand en pleine fôret. Le chemin est bordé de troncs d’arbres abattus. Au carrefour de la Gibonnière nous arrivons sur le D 213 et nous la suivons pour passer devant la bambouseraie de Lolo puis arrivons à Monceaux au Perche. Nous prenons la direction de Bizou et admirons le Manoir du Gué avant de quitter la route pour aborder un petit sentier qui grimpe, 60 m de dénivelé. Nous descendons maintenant vers l’autre extrémité de Monceaux au Perche. Nous faisons une petite halte pour permettre à Martine de découvrir le parking de la Mairie et à d’autre de profiter des toilettes. Nous faisons un petit détour pour aller voir le Manoir du Pontgirard. Une nouvelle côte de 70m de dénivelé nous attend mais cette fois ci sur la route, c’est la dernière difficulté de la journée. On se regroupe en haut car chacun est monté à son rythme. Nous prenons le chemin qui passe devant le pylône télécom puis entamons la descente. Nous nous arrêtons pour regarder un groupe de chevreuils en promenade dans un champ. Nous arrivons maintenant à la Repinçonnière où nous empruntons la D 111. Au clos St Marc nous changeons de programme et faisons un petit détour d’un kilomètre. Alain nous abandonne et rentre directement au parking. Nous prenons le chemin qui mène au Sablon. Sur le côté gauche du chemin nous apercevons l’entrée d’une grotte puis un peu plus loin une marnière. Nous prenons alors le D 612 en direction de l’arrivée mais nos détours ne sont pas finis. Un dernier détour par le Manoir de ma Moussetière et nous pouvons enfin rejoindre Alain qui nous attend sur le parking. Il s’est mis à l’abri sous l’abri bus. Ce fut une très belle randonnée. Nous avons fait finalement une petite rallonge de 3 Kms soit 22 Kms. Rendez vous dimanche pour la rando resto!

  • 19/02/2017 Bourges - Sancerre

    Très belle promenade cette nuit entre Bourges et Sancerre, 54 Kms. Le beau temps était au rendez vous! A 23h00, une heure avant le départ, il faisait 7° à Bourges. Départ à minuit pile pour environ 1200 randonneurs sur le grand parcours. Le départ est rapide pour ne pas être englué dans la masse. Les premiers kilomètres (La vieille ville et la banlieue) sont effectués à 7,5 Km/h. Le serpent s’allonge et chacun prend son rythme, toutes ces frontales, c’est superbe. Le scoureurs sont déjà loin. Je vais rester jusqu’au premier ravitaillement avec trois jeunes femmes qui font de la marche nordique et la moyenne se stabilise à 7,2 Kms/h. Elles restent trop longtemps au ravitaillement alors je retrouve d’autres compagnons de route. La température est encore agréable. La lune, dernier quartier,  se lève à 2h00 et nous permet de marcher facilement sans lumière sur les routes. Vers le kilomètre 25, nous avons une superbe vue des lumières de Bourges dans le lointain. Vers 5h du matin le gel fait son apparition ce qui permet aux chemins gras de durcir. Il y a quand même quelques secteurs boueux surtout dans les coteaux. Le jour commence à pointer, nous rangeons les frontales et la température remonte un peu. Le soleil se lève au moment ou nous attaquons la première véritable côte. La montée du coteau de Reigny au kilomètre 46. Elle fait très mal aux jambes à ce moment du parcours, on monte tout droit dans le coteau. Toutes les difficultés sont dans les 10 derniers kilomètres. Après le dernier ravitaillement à Bué, nous attaquons le coteau de Venoize, l’arrivée n’est plus très loin, nous apercevons l’arrivée. Il reste à descendre du coteau et à remonter sur la colline de Sancerre jusqu’à la grotte où nous attend notre petit verre de Sancerre, blanc ou rouge au choix ! Il est 08h15 le Sancerre est apprécié, il reste à rejoindre Bourges par le premier bus. Les derniers sont attendus vers midi ou plus!!! L’organisation était excellente. On voit très bien sur la courbe, les cinq ravitaillements et la chute de vitesse dans le coteau!

    Courbes

  • 15/02/2017 Chuisnes

    Aujourd’hui, j’ai profité d’un jour de relâche sur le grand parcours pour aller me promener à Chuisnes. Lundi après-midi j’avais déjà rendu visite à la Mairie pour étudier et prendre quelques photos du nouveau cadastre suite au remembrement. Beaucoup de nos chemins ont disparu et de nouveaux ont fait leur apparition. J’ai donc parcouru les nouveaux chemins et fait un relevé GPS. Tous nos parcours sont impactés par le remembrement donc je les ai supprimés et vais créer quelques nouveaux grands parcours. Le beau temps étant annoncé pour ce week end, je serai donc dimanche à la randonnée Bourges – Sancerre.

  • 12/02/2017 La Loupe

    L’alerte Orange de Météo France nous ayant dissuadé d’aller à L’Hermitière, nous sommes restés à La Loupe pour randonner. Dommage car Météo France a encore fait de mauvaises prévisions. Nous étions cinq au départ de La Loupe. Le circuit habituel fait 21,4 Kms (J'avais annoncé 20,4 mais c'était une faute de frappe) et n’a rien d’exceptionnel au point de vue touristique ! Les champs sont toujours aussi beaux. Il y aura donc très peu de photos. Nous sommes partis par le chemin Vert pour rejoindre le Vaufermé puis la Haisonnière. Méfiance à la Haisonnière car Mr Sécurité peut être aux aguets ! Nous prenons la direction de La Petite Butte et voyons arriver en sens inverse, Françoise T, Martine et Daniel qui sont partis à pied de leurs domiciles par peur du verglas. Nous repartons tous ensemble pour rejoindre Froid Vent où effectivement le vent est très frais ce matin. Nous prenons ensuite la route pour passer entre l’étang de Perruchet et l’étang de Thèllière et nous retrouver à Touraille. Les chasseurs sont au coin du bois mais nous laissent passer. Le GR 35 est toujours très boueux en descendant vers la D 941. Nous le suivons jusqu’au transformateur de La Cocherie puis traversons la Grande Sergenterie. Arrivés sur la D 349 nous nous séparons. Françoise, Martine et Daniel partent par St Eliph pour rentrer à St Victor et nous nous continuons à suivre le circuit prévu, la Glonnerie, l’Evarderie puis la route du Goulet. La traversée du bois de La Loupe est en très bon état et ne pose pas de problème. A l’arrivée nous avons pu déguster les excellents gâteaux d’Elisabeth qui arrosait son anniversaire. Je ne sais pas s’il y aura une randonnée mercredi vu le très faible effectif. Je vous tiendrai au courant.

  • 08/02/2017 Marolles les Buis

    Aujourd’hui quatre randonneurs au départ de la rando dont le thème était les moulins de La Cloche. Cette fois ci, ce sera une visite commentée avec talent par Martine. C’est la reprise pour Françoise D après quelques mois de repos ! Au cours de la randonnée nous aurons accès au Moulin de Radais et nous remercions le propriétaire qui nous a autorisé à y accéder. Nous quittons Marolles pour rejoindre La Pissotte où nous empruntons le chemin de La Côtière qui est en parfait état. La haie est complètement coupée et la vue est maintenant dégagée. Au carrefour des Forges nous prenons la route en direction de Frétigny. Arrivés à Rome, nous prenons le chemin qui monte et nous amène au Petit Bois. Nous arrivons ensuite à Pétonville et descendons vers la Cloche. Petite halte à Cholet pour l’histoire du premier moulin de la rando. Le moulin de Cholet n’existe plus et nous ne verrons que son emplacement. Nous prenons ensuite le chemin qui nous amène au moulin à papier qui lui est bien là. L’entrée est dégagée, alors je prends une photo de l’intérieur. Nous continuons par la route jusqu’au chemin qui descend au hameau de La Cloche. Nous faisons un petit détour hors du parcours pour essayer de voir le moulin de le Brètêche. Malheureusement depuis la route ce n’est pas évident de le voir. Nous reprenons notre chemin et le parcours prévu. Nous arrivons près du moulin de Cachebouton et faisons un nouveau détour pour aller le photographier. Comme c’est une propriété privée, nous ne le voyons pas sous le meilleur angle. La rando continue et nous sommes suivis par des cavaliers du centre équestre des Barres. Nous arrivons maintenant à Houdangeau et empruntons le chemin qui descend vers La Cloche pour emprunter la passerelle. Le chemin monte ensuite vers le château de la Vignardière. Une nouvelle fois nous quittons notre parcours pour aller au moulin Radais. Le propriétaire nous a autorisé à le visiter et à faire toutes les photos que l’on souhaite. Le moulin a été superbement restauré. La route qui nous ramène à La Vignardière est très pentue mais la visite du moulin en valait la peine. La côte n’est pas finie car il nous faut rejoindre le calvaire en haut de la D 351-2. Nous sommes sur la colline et c’est difficile pour observer les moulins, alors nous allons descendre par le petit sentier des Bréhaudières où nous attend comme d’habitude le chien de la maison. Nous voici donc au moulin Neuf qui lui est sur la Vinette. Nous passons le carrefour de la route de la Hurie et traversons le pont sur La Cloche. Au passage nous regardons la Vinette se jeter dans la Cloche. Nous attaquons le chemin du ravin de l’Enfer. Sur la droite de ce chemin arrive un sentier venant de Bouvereau. A 300m d’ici, sur ce chemin se situait le moulin de Boischaté. Aujourd’hui il ne reste que quelques ruines, mais nous distinguons nettement les canaux amenant l’eau. Attaquons maintenant la côte pour rejoindre la Belle Arrivée. Nous traversons le bois de Maurissure pour descendre une nouvelle fois vers la Cloche. Nous la traversons sur la passerelle faite par de poteaux électrique. Les dames ne sont pas rassurées ! Mais personne ne tombe à l’eau. Le moulin Grignon est juste après la passerelle mais il mériterait un petit nettoyage car la végétation extérieure envahi les lieux. Nous prenons ensuite la route en direction de la Poterie. En passant nous voyons le moulin Jubault qui lui aussi a été bien restauré. Arrivé à la Poterie nous décidons de modifier notre parcours pour aller voir le moulin de la Poterie qui est proche du lavoir. Nous rebroussons notre chemin et rentrons à Marolles par la route. Finalement avec tous nos détours, nous avons effectué 20 kms. Après la randonnée, avec Martine,  nous sommes passé par le château de la Vignardière où la propriétaire nous attendait pour nous remettre quelques documents sur les moulins. On vous l’a déjà dit, un livret sur la vallée de La Cloche et ses moulins est en préparation et vous saurez bientôt tout sur cette vallée. Prochain rendez vous, la rando nocturne de Trizay samedi soir avec soupe et Teurgoule à l’arrivée puis dimanche matin nous irons à l’Hermitière.

  • Sécurité en randonnée

    Sécurité en randonnée  

    A droite ? A gauche ?


    Les randonneurs sont parfois amenés, au cours de leurs périples à emprunter, le moins possible, des portions de routes. Et inévitablement la question se pose : faut-il marcher à droite ou à gauche ?

    Dés lors qu’on aborde l'asphalte, le seul texte ayant force de loi est tout naturellement le code de la route. Consultons l’Article R412-36 :

    "Lorsqu’ils empruntent la chaussée, les piétons doivent circuler près de l'un de ses bords. Hors agglomération et sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité ou sauf circonstances particulières, ils doivent se tenir près du bord gauche de la chaussée dans le sens de leur marche [...]."

    Mais si nous consultons l'article complémentaire qui suit, Article R412-42 :

    "I - Les prescriptions de la présente section relatives aux piétons ne sont pas applicables aux cortèges, convois ou processions qui doivent se tenir sur la droite de la chaussée dans le sens de leur marche, de manière à en laisser libre au moins toute la moitié gauche.

    II - Elles ne sont pas non plus applicables aux troupes militaires, aux forces de police en formation de marche et aux groupements organisés de piétons.

    Toutefois, lorsqu’ils marchent en colonne par un, Ils doivent, hors agglomération, se tenir sur le bord gauche de la chaussée dans le sens de leur marche, sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité ou sauf circonstances particulières.

    III - Les formations ou groupements visés au II ci-dessus sont astreints, sauf lorsqu’ils marchent en colonne par un, à ne pas comporter d'éléments de colonne supérieurs à 20 mètres. Ces éléments doivent être distants les uns des autres d'au moins 50 mètres."

    Alors, tentons de démêler l'écheveau pour les groupements organisés de piétons, c'est à dire les randonneurs que nous sommes!

    Notons d'abord qu'il s'agit d’obligations (ils doivent) et non de recommandations.

    • Le randonneur isolé doit se tenir à gauche dans le sens de sa marche.
    • A partir de deux randonneurs (on n’est plus isolé), on doit marcher à droite ... sauf si on évolue l'un derrière l'autre ... alors on revient à gauche.
    • En cas de groupe peu important : à droite si l'on est en groupe, à gauche si on marche les uns derrière les autres.
    • En plus, en cas de groupe très important : obligation d'organiser des groupes de moins de 20 mètres distants de 50 mètres chacun et de marcher à droite.


    A noter également, à la tombée de la nuit et la nuit :
    La nuit, ou le jour lorsque la visibilité est insuffisante, chaque colonne ou élément de colonne empruntant la chaussée doit être signalée :

    1. A l’avant par au moins un feu blanc ou jaune allumé,
    2. A l’arrière par au moins un feu rouge allumé, visibles à au moins 150 mètres par temps clair et placés du côté opposé au bord de la chaussée qu'il longe.

  • 05/02/2017 Avezé

    La météo n’est pas au beau fixe quand nous quittons La Loupe mais changement radical en arrivant à Avezé. Le soleil est de retour et il ne nous quittera pas de la matinée. Nous sommes six à quitter l’église d’Avezé pour rejoindre les collines d’en face. Après cinq minutes de marche, le téléphone sonne ! C’est Elisabeth qui vient d’arriver au parking. Elle nous rejoint au pas de course. C’est donc à sept que nous allons continuer. Nous empruntons le chemin parallèle à la voie ferrée puis attaquons notre premier chemin creux. Il y en aura beaucoup sur ce parcours, boueux aujourd’hui mais quand même très praticable. Les chaussures auront besoin d’un bon nettoyage. Nous traversons les hameaux du Creux, l’Aumône, la Garenne, l’Oliverie et Le Tertre et découvrons de très belles maisons bien restaurées. Juste après la Galaisière, c’est le premier col pour atteindre la Coëfferie. Nous prenons la route pour un aller-retour au château de la Prousterie. Ce château et ses dépendances valent le détour. Nous repartons en sens inverse pour nous diriger vers la Mussardière. Sur notre droite nous apercevons le village de l’Hermitière et son château. Nous quittons la route pour de nouveaux chemins creux très humides. Elisabeth s’aperçoit qu’elle a perdu sa casquette. Malgré une recherche rapide, elle est introuvable. Elle doit être loin d’ici. Nous montons maintenant vers le Bois Guyot pour rejoindre la route qui mène à la tuilerie des Saules. Nous entendons la corne de quelques chasseurs mais nous n’allons pas dans cette direction. Maintenant le terrain est plat pour traverser la forêt. Nous croisons beaucoup de joggeurs ce matin, tout le monde profite du beau temps. Peu avant l’Orgerie, nous tournons à droite pour descendre par un petit sentier abrupt vers Préval. Arrivés à l’entrée de Préval je demande si quelqu’un veut faire un petit détour d’environ deux kilomètre pour aller jusqu’à l’église. Six voix pour, une voix contre, donc nous n’irons pas car il n’y a pas l’unanimité. Nous continuons par la route et arrivons à la Fafelinière où nous découvrons une très belle longère.  Nous apercevons le château de la Matrassière, que nous irons peut être voir un de ces jours. Nous voici maintenant à Souvigné sur Même où se trouve un parking qui pourra éventuellement servir de départ à une prochaine randonnée. Il nous fait maintenant remonter sur la colline. Nous passons près du Petit Ecossé et arrivons au haras de la Milsandière. Nous longeons et contournons la grande piste d’entrainement et doublons deux chasseurs en ballade. Nous passons sous des petites barrières pour emprunter un tout petit sentier escarpé qui nous permet de rejoindre le centre équestre du verger à Cavereau. Au cours de la descente nous avons une très belle vue sur Avezé. Nous suivons ensuite la voie ferrée pour rejoindre La Coupenière où nous empruntons notre dernier chemin creux de la journée. Après avoir passé la Ponjardière, nous prenons enfin, diront certaines personnes, la direction d’Avezé. Nous longeons à nouveau la voie ferrée pour rejoindre la D 59. Nous traversons l’Huisne par un pont métalique et arrivons à notre parking. Sur ce parking il y a des toilettes et une fontaine d’eau potable, c’est le grand luxe. C’est certain, nous reviendrons à nouveau faire cette belle randonnée aux beaux jours. Rendez vous mercredi à Marolles les Buis.

    Si vous ne comprenez pas tout ce que vous dit Martine, voici les mots du langage rustique usité à S Victor de Buthon.

  • 01/02/2017 Mâle

    Départ de La Loupe à deux personnes, nous passons par St Victor de Buthon où l’effectif double. Nous faisons voiture commune et rejoignons Mâle où nous attendent Chantal et Reynal. Reynal nous raconte qu’en venant il a croisé une voiture de l’identification criminelle ! Il a raison, voici l’article de l’Echo. Nous attaquons donc la rando à six. La météo n’est pas terrible mais il ne pleut pas, c’est le principal. Aujourd’hui nous ferons le parcours en sens inverse. Nous prenons le chemin des côtiers puis la direction du Chaillouet, chemins déjà emprunté lors du Tour de Collines du Perche. Nous rejoignons ensuite le hameau de Charabaux et prenons la direction de Mâle. Nous avons une très belle vue sur Mâle et son église. Comme nous venons de démarrer, il nous faut bifurquer pour passer au Terrier où se trouve une très belle demeure. Il n’y a pas que la demeure qui est belle, la côte qui suit l’est également, ce n’est que la première du parcours. Nous traversons ensuite la D 923 et descendons vers les Margotières. Au passage nous voyons un sanglier qui est venu chercher son repas au près d’un petit enfant qui lui jette du pain. Nous ne nous arrêtons pas à la boite de nuit et passons près des étangs de Pont Girard. La route s’élève à nouveau et une pluie fine fait son apparition. Reynal nous guide, il a enfin révisé l’utilisation de son GPS ! Il maitrise ! Les sentiers commencent à devenir boueux. Enfin ! Après quelques tout droit, à gauche….nous voici à Bel Air. La pluie a cessé, tant mieux. Nous prenons la direction de la forêt pour atteindre le point culminant de la journée à 204 m d’altitude. C’est Françoise qui est contente car maintenant ça va descendre jusqu’à l’Hermitage, la banlieue de Ceton. Nous voici à 112 m d’altitude, belle descente. Maintenant il faut remonter par la route en direction de la Grande Rosaye. Nous apercevons une dizaine de chevreuils dans les champs voisins. Nous continuons à monter et passons à l’Anerie, une superbe demeure, il est conseillé d’avoir un 4x4 pour y accéder en voiture. Nous voici au sommet de la bosse et pouvons maintenant descendre vers le ruisseau de la Jambette. A ne pas confondre avec la Jambette qui passe à Nogent le Rotrou. Il y a un petit peu d’eau dans la Jambette et rien pour traverser à part quelques pierres. On a vu pire mais nous trouvons un passage sur le côté en direction de l’ancienne ferme. Reynal vient en aide à la gente féminine pendant que je prends quelques photos. Il nous faut rejoindre maintenant la D 923 par une très longue côte. Au sommet nous attendons Françoise avant de traverser. Maintenant c’est de la descente jusqu’à la Croix de Pierre puis nous attaquons la dernière difficulté. Un petit raidillon qui nous amène à nouveau sur la D 923. Françoise est carbonisée mais maintenant il n’a plus qu’à descendre. A l’approche de la Bellangerie, nous avons une superbe vue avec le soleil couchant qui vient éclairer la vallée de l’Huisne. Nous voici enfin à Mâle, fin de la ballade. A dimanche pour la découverte d’un nouveau parcours à Avezé.

  • Trouver chaussure à son pied

    Voici un excellent article sur le choix de vos chaussures de randonnée.

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  • 29/01/2017 Chateauneuf en Thymerais

    Du monde au départ au boulodrome de Chateauneuf, 15 randonneurs. Aujourd’hui c’est un parcours plat qui fait le tour de la forêt Nord de Chateauneuf en Thymerais. Reynal à profité de son séjour raquettes pour réviser l’utilisation du GPS. Nous partons par la route du Jaglu et arrivons au château. Les chemins sont en très bon état et très propres, tant mieux pour les chaussures. Nous rejoignons ensuite la route de Dreux que nous traversons en prenant toutes les mesures de sécurité ! Tout le parcours aura lieu en forêt, alors il n’y aura pas beaucoup de paysages à photographier. Trois beaux chevreuils prennent peur à notre approche. Nous traversons la route de Torcay et continuons dans la forêt pour rejoindre Malicorne. A la sortie du bois, nous rencontrons un groupe de Vététistes. Reynal veut tourner à gauche, encore un bug du GPS ! Non, le GPS était dans le mauvais sens. Donc nous tournons à droite malgré les réticences de certains car le chemin n’est pas très visible. L’agriculteur n’a pas levé son socle lors du dernier labourage mais le chemin existe bel et bien. Nous arrivons sur la route de Fontaine les Ribouts et tournons à gauche avant le calvaire pour repartir en forêt. D’autres Vététistes nous doublent, il y a du monde en ballade ce matin. Nous arrivons à l’entrée de l’allée Royale et prenons le sentier de droite contre l’avis du GPS de Neuilly. Le petit sentier contourne le bois aux clercs et rejoint la route de Torçay. Nouveau bug du GPS de Neuilly qui ne fait pas la différence entre une route et un chemin, et nous voici repartis vers Chateauneuf. Maintenant Reynal a retrouvé le zoom et l’on devrait pouvoir rejoindre l’arrivée. Nous suivons l’allée cavalière puis après avoir traversé la route de Brouvilliers nous remontons vers l’allée Royale après un dernier Bug… Nous passons derrière la déchèterie et arrivons à la zone industrielle de la Grande Noue. Le parking est au bout de la route. Pas de gâteau aujourd’hui, c’est la fin de la randonnée. Nous n’avons fait que 850 m  de bitume sur les 17,3 Kms du parcours ! Rendez vous mercredi pour la rando à Mâle qui sera moins plate !

  • 26/01/2017 Reconnaissance à Avezé

    Cet après midi j'ai été faire une petite ballade de reconnaissance à Avezé. La randonnée aura lieu le dimanche 05/02. Le parcours est superbe, beaucoup de chemins creux et forestiers. Pour ma part je le classe dans le Top 3 de nos parcours. Il faut une demi-heure pour se rendre au départ depuis La Loupe mais cela vaut le coup. Alors réservez votre dimanche matin! J'ai mis en ligne un petit album photo de ma reconnaissance. S'il y a des randonneurs des moyens parcours qui lisent ces lignes, n'hésitez pas à prévoir une rando à Avezé, il y a de nombreux sentiers pour vous satisfaire.

  • 25/01/2017 La Madeleine Bouvet

    A 13h35 nous étions quatre randonneurs prêts à partir mais il nous manquait Françoise. Coup de téléphone, Françoise est égarée, elle se trouve à Rémalard, nous l’attendons ! Nouveau coup de téléphone, Françoise est à Bretoncelles et est toujours perdue. Nous la remettons sur le bon chemin pour nous rejoindre. En attendant son arrivée, nous allons au restaurant pour avoir des informations pour une prochaine randonnée. Françoise arrive enfin ! Fin du périple. Elle a pris le chemin le plus court pour venir de Montireau ! Si vous avez un GPS à vendre, n’hésitez pas à lui proposer. Nous voici donc partis à cinq. Le temps est gris et frais mais c’est idéal pour la rando. Nous commençons par la côte pour atteindre La Gatelière, c'est l’échauffement. Le terrain devient plat et nous voici à La Guiardière. Nous prenons la route du Désert. Les chemins sont en bon état et très durs grâce au gel, on ne va pas salir les chaussures. Nous traversons le bois de la Chevalerie et descendons vers le ruisseau de la Coignardière. Le ruisseau est à sec ! Nous montons vers le hameau de La Coignardière et arrivons ensuite sur la D 918. Ensuite c’est le Pont Chartrain et le sentier qui mène à la Trahérie. Peu de temps après nous tournons à gauche pour attaquer la côte suivante, c’est le chemin de César. Nous passons la barrière pour entrer dans la forêt de Saussay et quittons le chemin de César en prenant la direction de Bretoncelles. Nous ne verrons aucun sanglier lors de la traversée de la forêt, dommage ! A l’entrée de Jonville, un chevreuil traverse notre chemin, il est bien près des habitations. Nous descendons pour traverser la Corbionne et prenons la direction de Bretoncelles. Nous n’irons pas jusque là car il nous faut monter dans le bois des Cracotières. Nous arrivons ensuite à la Petite Forêt et prenons le direction de la descente qui nous amène à la Dougère. Ensuite, c’est la dernière difficulté de la journée, la côte qui nous amène à la Louveterie. Nous nous regroupons en haut car comme dans tous les cols, il y a eu des écarts. Nous descendons par la Beaudonnière et regagnons le parking de La Madeleine Bouvet en longeant l’étang. Rendez vous dimanche pour une randonnée en terrain plat. En attendant, je vais aller me promener à Aveze pour reconnaitre une prochaine ballade. J’espère que Françoise à bien retrouvé la route de Montireau !

  • 22/01/2017 Coudreceau

    La nuit fut courte après le retour de la randonnée nocturne de Chartres. Dix courageux ce matin à Coudreceau pour le départ de la randonnée. Toutes les voitures sont garées comme prévu sur le parking de la route de la Poterie. Nous avons tous mis notre ceinture pour rejoindre le départ car il ne faut pas plaisanter avec les forces de l’ordre. Il fait frais mais c’est un superbe temps pour randonner. Certains vont même regretter d’avoir entasser les couches de vêtements car il va faire très bon en cours de rando. Le soleil n’est pas encore levé sur Coudreceau, il est toujours derrière la colline. Nous empruntons la D12-1 pour monter jusqu’au point de vue sur Le Perche. En arrivant au sommet, le soleil apparait enfin et ne nous quittera plus. Nous descendons vers La Ferrière puis prenons la direction du Bois Jahan. Le camping est désert. Nouvelle côte, car il faut rejoindre Les Vieux Murs puis la D 121-1. Tout le monde est content car maintenant c’est la descente pour rejoindre l’entrée de La Gâtaise. Avant La Gataise nous tournons à droite et longeons un campement de mobil-homes qui est habité par des artisans du bâtiment ! Arrivés au Bas des Bruyères, un petit sentier escarpé nous permet de retrouver la D351-5. Une petite information en passant, c’est au Bas des Bruyère que La Vinette prend sa source. Il fait très chaud sous les blousons, certains commencent à s’aérer ! Nous arrivons ensuite à La Mare Chauveau ou nous empruntons le GR 35 pour suivre l’ancienne voie ferrée. Nous quittons le GR 35 à l’ancien passage à niveau pour descendre vers Blainville. Nous suivons la route et arrivons à La Vinette. Un peu plus loin, nous apercevons une très belle souche. Simone nous dit qu’elle ressemble à la tête de son futur cheval ! Pauvre bête ! Nous passons par le Petit Giraumont ou nous croisons un club de randonnée en ballade dans l’autre sens. Ensuite nous arrivons au Grand Giraumont puis entamons la descente vers la Chapelle de St Hilaire des Noyers. Un Vététiste arrive au sommet de la côte et nous l’applaudissons car elle n’est pas facile. Nous descendons maintenant la vallée de La Vinette par le sentier habituel. Nous apercevons sur notre droite Plainville et une fameuse côte, je pense que nous pourrons la baptiser Chantal. Les derniers mètres sont très gelés car la source coule sur le chemin. Tout le monde est prudent et nous prenons à gauche pour la dernière côte de la journée, la montée vers Coudreceau. Le peloton s’étire mais l’odeur des gâteaux fait oublier la difficulté. Nous traversons ensuite Coudreceau avant de rejoindre le parking. Nous nous installons au soleil pour fêter l’anniversaire de Marie Claude et déguster les différents gâteaux et le cidre. Bon séjour aux raquettes pour ceux qui sont inscrits et à mercredi pour les autres. Petite information, la randonnée nocturne de Trizay aura lieu le samedi 11/02, c’est à noter dans vos agendas. Allez osez et venez y participer ! L'ambiance y est excellente.

    Hier soir, à la rando nocturne de Chartres, avec Elisabeth, nous avons été interviewés par un journaliste de l’Echo avant le départ. Vous pouvez visionner cette vidéo en vous rendant sur le lien suivant : Echo (Cliquez plusieurs fois sur « Lire le suite » pour arriver jusqu'à la vidéo de 19h57).

  • Randonnée Nocturne de Chartres

    Très belle randonnée nocturne à Chartres. J'ai retrouvé Elisabeth au départ. Il fait très bon pour randonner. Nous cherchons d'autres Loupéen mais nous ne voyons personne. Pendant l'attente du départ, nous sommes interviewés par un journalisre de l'Echo qui réalise des petites vidéos! Le départ est donné à 08h05. Le premier kilomètre se fait derrière la musique comme chaque année. Nous piétinons donc à environ 2,5 Kms/h. Ensuite nous pouvons prendre notre rythme. A mi parcours, le ravitaillement se situe dans le garage d'une villa, nous y faisons un rapide passage. Au retour nous voyons beaucoup plus de monde car nous retrouvons les petits parcours. La dernière côte est raide et nous voici à l'arrivée pour la dégustation du vin chaud. Nous avons mis 2h 37 pour parcourir les 18 Kms à la moyenne de 6,9 Kms/h. Bonne moyenne au vu de la lenteur du premier kilomètre. Dernière information, nous étions environ 1600 participants.

  • Sécurité Routière

    Ce matin, interpellation d'un délinquant de la route par la gendarmerie à La Loupe.

    Après une course poursuite entre la place de la Mairie et la rue Maunoury, le délinquant est intercepté.

    Il s'agit d'une personne agée, au volant de sa voiture grise, qui circulait sans sa ceinture de sécurité.

    Courage Yves, bonne fin de journée.

    Merci pour le don aux bonnes oeuvres de la gendarmerie!

    Tu devrais venir au pain en marchant, cela te ferait un entrainement à la rando.

    Sécurité!!!!!!!!

  • 18/01/2017 St Victor de Buthon

    Nous sommes sept au départ de cette randonnée d’environ 30 Kms. Avant de partir nous rappelons aux personnes âgées qui nous accompagnent que le plan grand froid est activé en Eure et Loir. Les plus de 65 ans doivent rester chez eux et ne pas faire d’exercices physiques. Nos quatre personnes âgées préfèrent suivre les jeunes et nous voici partis en direction de la Pointe aux Canards. La température est fraiche mais nous sommes bien équipés. Les chemins sont bien gelés et propres. La première côte s’annonce et nous amène à Mont Rousset. Personne chez Laurent V alors nous passons notre chemin. Nous voici à la Veillière ou nous retrouvons la route. Au bas de la descente, nous traversons le lit de la Pajotière. Vous verrez sur les photos beaucoup de photos de cours d’eau et de moulins mais bientôt vous en saurez un peu plus et pourquoi avec Martine nous parlons de moulins. La route remonte pour nous amener jusqu’au Point du Jour. Nous traversons ensuite la forêt pour rejoindre la D 923 que nous traversons pour aller à Houdangeau. Nous attaquons une grande descente pour arriver à la passerelle sur La Cloche. Maintenant il faut remonter au château de Vignardière où les propriétaires sont déjà au travail, brouette en main. Nous continuons à monter en empruntant la D 351-2 jusqu’au calvaire. Il est trop tôt pour rencontrer nos camarades du petit et moyen parcours qui ne passeront par là que dans l’après midi. Nous prenons la direction des Bréhaudières où le chien nous accueille comme à son habitude. Nous empruntons ensuite le petit sentier qui nous conduit au moulin Neuf qui est sur La Vinette. Je fais quelques photos de la passerelle et du moulin. Après avoir traversé la D 103-11nous atteignons le confluent de La Vinette qui se jette dans La Cloche. Nous remontons par le début du ravin d’enfer pour arriver à La Belle Arrivée. Nous suivons le chemin qui mène à Ozée et tournons à gauche pour descendre une nouvelle fois vers La Cloche. Nous traversons par la petite passerelle et arrivons au moulin Crignon. Nous continuons par la route en passant devant le moulin Jubault jusqu’à la Poterie. Maintenant il faut monter à Coudreceau par le petit sentier. A mi parcours le chemin est labouré, comme tous les ans. C’est normal, l’agriculteur ne relève pas sa charrue et nous sommes tous au courant. Ce n’est pas un remembrement comme j’ai pu l’entendre place du 8 Mai. Au bout du chemin, un homme dort sur une croix ! Heureusement qu’il ne peut pas parler car toute les femmes lui ont tripoté les pieds. Nous continuons notre chemin avant que cela ne dégénère. A Coudreceau nous en profitons pour repérer le parking de Dimanche prochain et prenons la direction de le chapelle Ste Barbe au bord de la Vinette. Une grande et longue côte nous attend ensuite pour passer à Blainville et rejoindre la D 103. Chantal donne des signes de faiblesse dans la deuxième partie de la côte et ne va très bien. Reynal et Françoise prennent soin de Chantal et vont rejoindre Frétigny tranquillement. Pendant ce temps là, nous accélérons le pas pour prévenir notre hôte que nous aurons peut être un peu de retard pour le repas. Et au besoin trouver une voiture pour aller au devant de Chantal. Finalement tout le monde se regroupe à Frétigny pour profiter de la chaleur des radiateurs et déguster un excellent pot au feu puis un délicieux gâteau. Il faut reprendre la route car la randonnée n’est pas finie. Chantal, retapée par le repas, décide de rejoindre St Victor tranquillement par la route. Nous prenons la direction de la maison brûlée et du moulin de Villebon. Nouvelle traversée de La Cloche et nous commençons l’ascension de la butte de Piclos. Après la butte, nous descendons vers Vaugouin où les chiens en liberté nous accueillent. Nous continuons la descente vers le ruisseau des Noues et attaquons la dernière grande côte de la journée. Il faut maintenant remonter vers le D 923 à Boulay Bijault. Nous passons ensuite à La Thièsière et prenons la direction de la passerelle de la Bonne Eau. Il nous reste à remonter par la route à St Victor où nous retrouvons Chantal qui est arrivée quelques minutes avant nous. Quelques chiffres ! La première partie de la randonnée, soit 22,1 Kms a été réalisée à 5,6 Kms/h et la deuxième à 5,9 Kms/h. Moyenne générale de 5,7 Kms/h. Une prochaine randonnée de 30 Kms est à l’étude pour le mois de Mars avec en principe un repas à La Fourche.